30 dezembro 2011
15 dezembro 2011
Ancient Sound
07 dezembro 2011
01 setembro 2011
...n’est-ce pas Monsieur Emile ?
Peu un art, peu une technique. Un mystère.
Et pour le résoudre, une simple potion magique, pour éclairer notre lanterne, magique elle aussi, n’est-ce pas Monsieur Emile ? C’est dire que l’histoire du cinéma est d’abord liée à celle de la médecine. Les corps torturés d’Eisenstein, par-delà le Caravage et le Greco, s’adressent aux premiers écorchés de Vésale. Et le fameux regard de Joan Fontaine devant le verre de lait ne répond pas à une héroïne de Delacroix, mais au chien de Pasteur. Car toute la fortune de Kodak s’est faite avec des plaques de radio, pas avec Blanche-Neige.
Jean Luc Godard - HISTOIRE(S) DU CINEMA 2B - Fatale Beauté
21 agosto 2011
26 julho 2011
18 julho 2011
O Nosso Homem
O NOSSO HOMEM from Revista Lumière on Vimeo.
Pedro Costa, 2011, 19ª edição do Festival de Vila do Conde
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19ª edição do Festival de Vila do Conde,
Pedro Costa
09 junho 2011
06 junho 2011
Où commence, mais où commence quoi?
des tasses de café aux galaxies por lll_otto_ll
Peut-être qu'un objet est ce qui permet de relier, de passer d'un sujet à l'autre, donc de vivre en société, d'être ensemble. Mais alors puisque la relation sociale est toujours ambigüe, puisque ma pensée divise autant qu'elle unit, puisque ma parole rapproche par ce qu'elle exprime et isole par ce qu'elle tait; puisqu'un immense fossé sépare la certitude subjective que j'ai de moi-même et la vérité objective que je suis pour les autres. Puisque je n'arrête pas de me trouver coupable alors que je me sens innocent; puisque chaque événement transforme ma vie quotidienne; puisque j'échoue sans cesse à communiquer, je veux dire à comprendre, à aimer, à me faire aimer, et que chaque échec me fait éprouver ma solitude;
Puisque, puisque je ne peux pas m’arracher à l’objectivité qui m’écrase ni a la subjectivité qui m’exile, puisqu’il ne m’est pas permis ni de m’élever jusqu'à l’Etre ni de tomber dans le néant, il faut que j’écoute, il faut que je regarde autour de moi plus que jamais,le monde, mon semblable, mon frère...
Le monde seul, où aujourd'hui les révolutions sont impossibles, où des guerres sanglantes me menacent, où le capitalisme n’est plus très sûr de ces droits, et la classe ouvrière en recul; où les progrès foudroyant de la science donnent au siècle futur une présence obsédante, où l’avenir est plus présent que le présent, où les lointaines galaxies sont à ma porte, mon semblable, mon frère..
Où commence, mais où commence quoi? Dieu créa les cieux et la terre bien sur, mais c’est un peu lâche et facile, on doit pouvoir dire mieux, dire que les limites du langage sont celles du monde, que les limites de mon langage sont celles de mon monde, et qu’en parlant je limite le monde, je le termine et que la mort un jour logique et mystérieux viendra abolir un jour cette limite et qu’il n’y aura ni question ni réponse, tout sera flou mais si par hasard les choses redeviennent nettes ce ne peut être qu’avec l'apparition de la conscience, ensuite, tout s’enchaine...
Jean-Luc Godard
01 junho 2011
17 maio 2011
02 maio 2011
23 abril 2011
06 abril 2011
30 março 2011
06 março 2011
"Pull my Daisy"
Uma primeira versão do poema de Kerouac e Ginsberg de 1948, tinha sido publicado na Primavera de 1950 numa revista nova iorquina chamada Neurotica - outras duas versões só foram impressas em 1961. Brincando com palavras, alusões e sons, os autores evocam imagens fálicas não claramente expressas. Utilizando o contraste de forma (canção de crianças; quase rezando) e conteúdo, a provocação ganha ainda mais impacto. O texto integrado na canção do filme consiste em dois fragmentos menos ofensivos da versão mais longa com algumas alterações. Sob protesto dos poetas, um verso foi alterado e assim Anita Ellis canta:
Pull my daisy
tip my cup
all my doors are open
Cut my thoughts
for coconuts
all my eggs are broken
Jack my Arden
gate my shades
woe my road is spoken
Silk my garden
rose my days
now my prayers awaken
Bone my shadow
dove my dream
start my halo bleeding
Milk my mind &
make me cream
drink me when you're ready
Hop my heart on
harp my height
seraphs hold me steady
Hip my angel
hype my light
lay it on the needy
Heal the raindrop
sow the eye
bust my dust again
Woe the worm
work the wise
dig my spade the same
Stop the hoax
whats the hex
where's the wake
how's the hicks
take my golden beam
Rob my locker
lick my rocks
leap my cock in school
Rack my lacks
lark my looks
jump right up my hole
Whore my door
beat my door
eat my snake of fool
Craze my hair
bare my poor
asshole shorn of wool
say my oops
ope my shell
Bite my naked nut
Roll my bones
ring my bell
call my worm to sup
Pope my parts
pop my pot
raise my daisy up
Poke my pap
pit my plum
let my gap be shut
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Alfred Leslie,
Jack Kerouac,
Robert Frank
03 março 2011
03 fevereiro 2011
19 janeiro 2011
Big Brother is watching you
Nineteen Eighty-Four: The Facsimile of the Extant Manuscript, edited by Peter Davison
(London: Secker & Warburg, 1984)
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